Le rapport d’étonnement

Dernière modification effectuée le 26-11-2014.

Le rapport d’étonnement est un rapport relativement souvent demandé à un nouveau salarié qui intègre une entreprise.
Dès son arrivée, on lui précise qu’il devra rendre un rapport à son supérieur et/ou son tuteur, le plus souvent trois mois plus tard, à partir d’un canevas de questions qui lui est proposé.
Il s’agit pour l’entreprise de bénéficier d’un regard neuf, non encore usé par les routines du travail, et susceptible du coup d’apporter des idées neuves ou un éclairage inédit sur des problèmes que personne ne voit plus à force de les côtoyer quotidiennement.

Comme vous n’êtes pas encore salarié d’une entreprise, c’est un type de rapport qu’il vous est rarement demandé d’écrire à l’IUT. Alors, pourquoi en parler, même brièvement ?

– Tout d’abord, bien sûr pour que vous ne soyez pas déconcerté par une telle demande en intégrant une entreprise ;

– Ensuite parce que certains d’entre vous sont amenés tout de même à en rédiger, particulièrement lorsqu’ils font leurs études en alternance, soit en apprentissage soit en contrat professionnel, ce qui se traduit par le fait que tout au long de l’année ils font le va-et-vient entre l’entreprise et l’université ;

– Enfin parce que le canevas de questions est particulièrement intéressant pour réfléchir sur la partie consacrée au bilan personnel et professionnel que vous avez très souvent à rédiger en fin de vos rapports de stage et pour laquelle vous manquez souvent d’idées, faute de vous poser, dès l’arrivée en stage, les bonnes questions.
Vous trouverez ci-dessous une fiche de synthèse à ce sujet, issue de Qualiblog, site personnel de Jérémy CICERO consacré au management, et qui propose d’autre part de multiples outils professionnels dans ce secteur d’activités.

A titre d’exemple également, un rapport d’étonnement rédigé par une étudiante en alternance dans la grande distribution.